Pas une généralisation visant les « 100% sauf moi »...ni même les parétiens 80%.
Non.
Ce « tout le monde » qui sort de ma bouche englobe cette imparfaite part de moi-même, parfois également, visée par l’invective adressée.
Trop de dédain dans le facile « les gens ».
Et j’estime que seulement 40% sont réellement nuisibles –
aucun critère de discrimination ou de filtrage possible,
j’ai constaté d’la contamination à tous les niveaux.
Soit.aucun critère de discrimination ou de filtrage possible,
j’ai constaté d’la contamination à tous les niveaux.
Ce soir c’est le mépris qui me traverse l’esprit. Le notre ; mépris pas esprit.
Donc si ici mes propos blessent mon foi – organe sécrétant la bile – c’est qu’au-dehors de ces lignes ma relation avec vous est tout autre.
En s’y attardant bien, n’est-ce pas ce que l’on constaterait pour plusieurs d’entre nous ?
Sans nécessairement mentir, un blog nous permet d’explorer ces facettes que le quotidien nous empêche d’exprimer.
Le 1er fanfaronne et le 2nd se plaint à chaque ligne.
Le 1er se lit comme du petit lait, le 2nd est un être avec lequel je me risquerai à passer l’éternité.
Ici je joue le fier. J’en ai besoin. Le 1er se lit comme du petit lait, le 2nd est un être avec lequel je me risquerai à passer l’éternité.
Mon égo a tellement ramassé par le passé qu’aujourd’hui je brille par humilité.
L’enfant prodige que j’étais a besoin, dans un recoin entre 2 mots, d’exhiber sa supériorité.
Cowblog est mon urinoir.
Je te considère comme une feuille de PQ.
Jetable, bon marché, honteuse....et tellement indispensable.
Je te considère comme une feuille de PQ.
Jetable, bon marché, honteuse....et tellement indispensable.
J’aimerais tellement me la jouer à la « La Fontaine » et qu’à la fin de cet article une quelconque morale s’induise en toi.
Une ‘spèce de prise de conscience. Mon humilité me dit que ce soir n’est pas LE soir.
Non.
Mon imagination est trop abstraite pour être lyrique.
La morale de cette histoire – la lirette, la lirette – sera finalement l’épurée empreinte ci-dessous, issue d’un regard analytique portée sur ce monde bestiale.
J’ai ramassé ; comme j’en ai fait baver.
Tour à tour veau et boucher. Si c’était si simple...
J’ai choisi mon camp.
Et la nature m’a guidé sur la façon de procéder.
Mon relationnel était mon point faible, réellement.
Ca l’est toujours mais je vis dangereusement.
Constater, observer et subir, tellement de mépris me donnait la gerbe.
Sais-tu c’que c’est l’exclusion non choisie ?
Celle qu’un truc sans nom t’impose à regret ; pendant que certains courent après et se l’infligent en se défigurant dans une recherche d’identité...
Ce sentiment-là, eh ben tu vois, c’est c’qui fait qu’aujourd’hui y’a comme un gouffre entre toi et moi.
J'suis pas en train d'me victimiser, oh là non; j'aimerais juste casser ces putains de sentiments de supériorité qui détériorent la vie collective.
Zéro mépris chez moi. Du clodo au Dirlo.
C’est pas donner tes pièces jaunes dans l’assoc’ d’à côté qui changera en profondeur ta mentalité – mais j’vais pas te dire d’arrêter car on a besoin de connards comme toi qu’ont la conviction qu’on peut s’acheter une personnalité et une conscience – mais pourtant...un sourire, 5 minutes de conversation, de la RELLE attention aux personnes que tu côtoies et une once d’empathie
C’est peu et ça se tarif pas ; c’est pas toujours inné mais c’est une question de volonté si ça s’développe pas.
Peu importe c’que tu dis ou c’que tu fais, on s’en fout ! Dans le pire des cas tu gagneras un sourire...y'a pire!
C’est pour si peu et pour cette absence de tout ça que notre société part aussi en couilles.
Et qu’éternellement ta grosse-tête croupira sous le limon qu’un simple regard aura appelé chez les types comme moi.
