Regard dans le rétroviseur : 6 mois ont passé depuis mon départ de cette ré-épineuse mission ; calme plat.
Le damier.
Mission clôturée.



Quel coureur d’athlétisme ferais-je ?
J’suis pas un sprinteur et j’connais rien en javelot...du saut ?

Hummm.

La croissance de la perche n’est pas proportionnelle à l’ascension qu’impose chaque nouvelle fois la barre ; et l’on me prive d’élan.  Mes limites
s’approchent davantage des gourmandes au masque de loup que des féministes...
Merci pour le challenge !

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Si mes semaines son souvent déréglées par des journées de 15h et qu’il m’arrive parfois de m’enchainer à la tâche pendant 24h j’ai pourtant besoin de repos entre 2 nettoyages afin de ressourcer mes performances en terme de productivité.
Ooooh pas des vacances ! Une période de flottement de quelques semaines où je laisse mon organisme re-prendre ledessus suffit.
Sous la couette vers 3h, et pas de réveil. Je suis cadre, merde !
Immersion en douceur depuis 1 mois ; Eveil imposé jusqu’à la fin de l’année...
Et pour répit, 2 semaines en fin d’été...Vacances d’été qui sentent la poursuite du road-trip entrepris l’an dernier ; plus profondément dans l’est.
D’ailleurs, je ne me ne rappelle pas avoir ressenti de blues justifiant une rétrospection dans ces 15 jours fabuleux en ces lieux...
Une trois-cent-trentaine de jours sans gros cafard. 15 jours préservés, mais non valorisés. 
Yeah !
 
Et aujourd’hui ?
 
Aujourd’hui je ne peux que m’indigner face au sempiternel détachement constaté chez les subordonnés, quelque soit le niveau hiérarchique.
Est-ce la résultante d’un mauvais management antérieur où le reflet d’une démotivation innée ?
Combien de jours va-t-il falloir « lutter » ?
Converser, investiguer, impulser ; creuser jusqu’à comprendre les freins qui bloquent ces esprits d’initiative pour enfin les déjouer.
Je préfère travailler avec des Hommes plutôt que des chiens. Je suis outré par l'absence d'implication dans un travail bien fait, soucieux de l’ensemble des maillons et non plus de son gros cul....dont on ne connait que trop bien les proportions mais qu'on se com-plait à si facilement enjoliver par ces pirouettes égoïstes qui en déforment l’image rendue grâce à cet étalage toujours plus important de nos propres excréments sur nos proches collaborateurs...à qui l’on paie un café chaque matin l’air de rien.
J’ai beau être de gauche, je CRIE qu’assouplir les conditions de licenciements est indispensable pour la survie de nos entreprises, et leurs développements. 
 
Certains hommes sont de tels chiens, que l’euthanasie en est inévitable.
La SPA comme l’ANPE, compte ses places.
 
Une relecture me fera peut-être corriger quelques lignes, d'ici-là...