jaimemonurl

Comment peut-on foutre en cloque une gonzesse qu’on n’arrive pas à gérer ?



J’approuve le p’tit speech du « crime farpait » à propos des femmes : « Elles sont attirées comme des aimants par les hommes seuls » (...) « Elles sont génétiquement programmées pour passer la bague au doigt. »...Okay j’suis plutôt l’archétype du personnage de « Shame » mais c’est pas d’moi dont j’ai envie de parler ce soir. Pas directement.

C’qui me choque c’est qu’une gonzesse parvienne à foutre en l’air la vie d’un mec pour des caprices « courts-termes ».  Le bon sens serait de soutenir les sacrifices faits aujourd’hui pour en récolter le retour sur investissement dans les mois à venir. Qui plus est quand elle se met à procréer. Une mère digne c’est celle qui pense à l’avenir de ses gosses pas celle qui ne contrôle pas ses hormones. T’sais quoi mon pote ? Elle t’as eu avec son beau plumage et là j’pense qu’elle te plume à balle avant d’se faire la malle...

Ca doit être c’qu’on appelle « tenir par les couilles ».



Sauf qu’il faut arrêter de penser « indispensable». Personne ne l’est. Contrairement à ce que le cerveau humain s’imagine et auquel la société de consommation donne des ailes...nul n’est unique. Tout au mieux, nos expériences nous ont différenciés. Ses facultés psychomotrices, son attention et la texture de ses muqueuses tu pourras les retrouver. Ses affinités culturelles aussi ; les tiennes sont de l’ordre du classique.

Dans le pire des cas, tu t’retrouve face à un célibat que tu digères pas...no stress ! Il existe aujourd’hui de très bons palliatifs. ! Le plaisir féminin vulgarisé dans le magasine populaire du coin c’est très bien...elles méritent toutes d’être épanouies sexuellement. Mais pour le plaisir masculin également y’a des putains d’inventions ! Moins bien qu’une vraie femme, certes,  mais de très loin meilleur qu’un vagin...

Notre génération est malade. Immédiateté. Récolter à peine après avoir semé. Mosanto.
Et ça rêve de petit poney mangeant ses 5 fruits et légumes bio.

WTF ?

Parfois, ici je crache ; sur un peu n’importe qui et sur tout le monde.
Pas une généralisation visant les « 100% sauf moi »...ni même les parétiens 80%.
Non.
Ce « tout le monde » qui sort de ma bouche englobe cette imparfaite part de moi-même, parfois également, visée par l’invective adressée.
Trop de dédain dans le facile « les gens ». Soit.
Ce soir c’est le mépris qui me traverse l’esprit. Le notre ; mépris pas esprit.
Donc si ici mes propos blessent mon foi – organe sécrétant la bile – c’est qu’au-dehors de ces lignes ma relation avec vous est tout autre.

En s’y attardant bien, n’est-ce pas ce que l’on constaterait pour plusieurs d’entre nous ?
Sans nécessairement mentir, un blog nous permet d’explorer ces facettes que le quotidien nous empêche d’exprimer.

Ici je joue le fier. J’en ai besoin.
Mon égo a tellement ramassé par le passé qu’aujourd’hui je brille par humilité.
L’enfant prodige que j’étais a besoin, dans un recoin entre 2 mots, d’exhiber sa supériorité.




J’aimerais tellement me la jouer à la « La Fontaine » et qu’à la fin de cet article une quelconque morale s’induise en toi.
Une ‘spèce de prise de conscience. Mon humilité me dit que ce soir n’est pas LE soir.

Non.

Mon imagination est trop abstraite pour être lyrique.
La morale de cette histoire – la lirette, la lirette – sera finalement l’épurée empreinte ci-dessous, issue d’un regard analytique portée sur ce monde bestiale.

J’ai ramassé  ; comme j’en ai fait baver.
Tour à tour veau et boucher. Si c’était si simple...
J’ai choisi mon camp.
Et la nature m’a guidé sur la façon de procéder.
Mon relationnel était mon point faible, réellement.
Ca l’est toujours mais je vis dangereusement.
Constater, observer et subir, tellement de mépris me donnait la gerbe.
Sais-tu c’que c’est l’exclusion non choisie ?
Celle qu’un truc sans nom t’impose à regret ; pendant que certains courent après et se l’infligent en se défigurant dans une recherche d’identité...
Ce sentiment-là, eh ben tu vois, c’est c’qui fait qu’aujourd’hui y’a comme un gouffre entre toi et moi.
J'suis pas en train d'me victimiser, oh là non; j'aimerais juste casser ces putains de sentiments de supériorité qui détériorent la vie collective.
Zéro mépris chez moi. Du clodo au Dirlo.

C’est pas donner tes pièces jaunes dans l’assoc’ d’à côté qui changera en profondeur ta mentalité – mais j’vais pas te dire d’arrêter car on a besoin de connards comme toi qu’ont la conviction qu’on peut s’acheter une personnalité et une conscience – mais pourtant...un sourire, 5 minutes de conversation, de la RELLE attention aux personnes que tu côtoies et une once d’empathie 
C’est peu et ça se tarif pas ; c’est pas toujours inné mais c’est une question de volonté si ça s’développe pas.
Peu importe c’que tu dis ou c’que tu fais, on s’en fout ! Dans le pire des cas tu gagneras un sourire...y'a pire!
C’est pour si peu et pour cette absence de tout ça que notre société part aussi en couilles.

Et qu’éternellement ta grosse-tête croupira sous le limon qu’un simple regard aura appelé chez les types comme moi.

Par-ci, par-là je lis des trucs qui me laissent sans voix.

Enfantée dans la technologie, notre génération a perdu ses repères.
Allez toujours plus vite ; la qualité devenue secondaire.
Nourriture, musique, apprentissage, politique, relationnel, sexe...
Le pire c’est que leurs aïeux en sont fiers.
Freud disait qu’il faut « tuer son père ». Encore quelques années et ça sera pris au premier degré.
C’est bien l’un des rares actes de ma génération que j’approuverai.
Vos parents l’auront bien mérité.

Le coup est parti après la lecture d’énièmes commentaires à propos de notre gouvernement...
Comment peut-on concevoir qu’on peut faire bouger un pays en un claquement de doigts ?


Dans une organisation d’une dizaine de personne le moindre changement nécessite plusieurs semaines... alors 60 Millions !
Après 5 ans, nous ne verrons qu’une partie de l’iceberg des changements entrepris.
Les décisions prises il y a 10 ans nous arrivent en pleine gueules aujourd’hui.


L’ordre normal des choses serait que les « vieux cons » partagent leurs expériences pour clarifier les esprits puérils, mais visiblement ces troubles en arrangent beaucoup...

Si seulement tout le monde avait reçu un minium d’instruction et d’éducation...
Malheureusement, je serai le fervent opposant à une quelconque révolution de ma génération...si j’ai pas moi aussi fuis ce pays avant.

Y'a du challenge.
A peine monté sur ce nouveau ring que j'essuie ce soir mon premier coup bas.
Sans gravité mais j'imaginais pas risquer la chute si rapidement.
Alors qu'il reste qu'à presser une fois de plus la détente pour incrémenter le compteur...hésitation...je repporte la torpille.
A trop vouloir faire ça proprement on se fait salement baiser.


Je préfère calculateur à manipulateur.

C'qui m'plait c'est désamorcer les bombes que je vois arriver.
L'époque où j'voulais toujours avoir raison est terminé ; je sais que j'ai raison, point.
Aujourd'hui, c'qui m'importe, c'est d'arriver à destination.

Elémentaire mon cher What's On/jeune Padawan - selon que ton imaginaire s'nourrit au rétro ou au cyber-.

Ce matin je lis comme un scoop que des rafinneries vont fermer à cause des énergies vertes ; c'est encore les mêmes qui vont trinquer, d'autres l'ont depuis longtemps anticipé. Les journaleux n'ont rien d'intéressant à publier?

Bref, l'un des phénomènes physiques dont la portée est la plus universelle s'assoit pépère sur nos rétines...une tasse de thé vert avec des petits sablés?

Vu que la myopie élève le QI, un QI faible souffre d'hypermétropie.
Vu qu'en temps de crise, le réflexe primaire est de se focaliser sur sa personne, nos facultés cognitives régrèssent pendant la crise.
Les opticiens vont encore bien marger cette année.
J'vais m'acheter une paire de lunettes. Si ça m'donnera pas l'air intelligent, j'me sentirais au moins bien français.




Cet aprèm',  la physique se travestie aux sciences humaines, "le malheur des uns fait le bonheur des autres".
Soit, aujourd'hui le vent est avec moi ; navré pour celui qui fait un pas en arrière.
Je tappe pas dans l'assiette du voisin...mais je sacrifie pas non plus ma gueule pour ronger éternellement la branche du laurier.